Les républicains utilisent la réforme de l’immigration comme outil politique (Maison Blanche)

Le Parti républicain opposé a utilisé la réforme globale de l’immigration comme un coup politique et un outil politique et n’est pas intéressé à résoudre le problème, a déclaré la Maison Blanche.

Comme nous l’avons vu, les républicains continuent d’utiliser cela comme un coup politique, un outil politique, et ne sont pas venus à la table pour une conversation sur la façon de protéger les Rêveurs et les travailleurs agricoles. Vous savez, il faut plus de juges d’immigration et d’agents d’asile. L’attachée de presse de la Maison Blanche, Karin Jean-Pierre, a déclaré aux journalistes lors de sa conférence de presse quotidienne lundi que davantage de fonds étaient nécessaires pour la sécurité des frontières.

C’est quelque chose que nous proposons dans ce projet de loi et plus encore. Ils ne veulent pas faire ça. “Ils veulent faire des cascades politiques, comme nous l’avons vu de gouverneurs et de maires à travers le pays”, s’est-il plaint en réponse à une question sur la réforme globale de l’immigration, en particulier sur l’immigration légale.

Il a déclaré que le président Joe Biden avait promulgué une législation radicale sur l’immigration le premier jour de son administration.

Pour montrer à quel point il l’a pris au sérieux, comment il s’est rendu compte que le système était en panne. Il doit être modernisé, amené dans le 21e siècle, a-t-il dit.

C’est quelque chose dont le président a parlé. Il a demandé au Congrès d’intervenir, a demandé aux républicains du Congrès d’intervenir et d’y travailler de manière bipartite. Il continue de le faire.

Entre-temps, il a soulevé quelque chose – il a les outils qu’il utilise pour s’assurer que nous faisons cela, que nous traitons réellement le système d’immigration d’une manière humaine et d’une manière qui traite réellement ce que nous voyons à la frontière, dit Jean-Pierre.

C’est pourquoi vous constatez que le programme de libération conditionnelle connaît un tel succès. En ce qui concerne l’immigration clandestine, vous l’avez vue chuter de plus de 90 %. C’est à cause des actions de ce président. Mais nous savons que davantage de mesures doivent être prises, il doit donc s’agir de mesures législatives, a-t-il déclaré.

Nous allons continuer à appeler le Congrès pour le faire. Et donc, c’est important pour ce président. Le premier jour, le premier jour, il a légiféré pour aller de l’avant là-dessus, a déclaré Jean-Pierre.

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